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 smile be yourself no matter what they say. (r)

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Moses Czyzewski

Moses Czyzewski


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MessageSujet: smile be yourself no matter what they say. (r)   smile be yourself no matter what they say. (r) EmptySam 14 Déc - 3:24




SMILE BE YOURSELF NO MATTER WHAT THEY SAY
FT MALO CZYZEWSKI & MOSES CZYZEWSKI

Les heures passées derrière un comptoir ne valait aucunement le projet sur lequel tu étais en train de travailler. Depuis plusieurs semaines déjà, tu travaillais pour un site de patrimoine public soit l’élaboration d’un grand jardin dont la construction du complexe d’entreprise prendrait naissance d’ici quelques mois. Avoir été sélectionné parmi l’ensemble des étudiants avait été pour toi une chance hors du commun et l’intérêt était pour toi quelque chose à vivre. Des cernes quelque peu sombre soulignés tes yeux d’un brun ambré que tu avais su hérité de ta figure maternelle, preuve que les nuits d’insomnies se faisaient nombreuses. Et celle de la veille n’avait pas été différente de toutes les précédentes. Tes doigts clapotent sur ton ordinateur avec une rapidité évidente mais claire car toutes tes idées fusent et tu ne veux guère en oublier. Le rapport devant être rendu avant la fin de la semaine, le temps que tu peux accorder à tes proches ou même à tes colocataires à tendance à se faire bien maigre. La tasse de caféine – qui il y a moins d’un quart d’heure était fumante – posée à coté de toi est désormais tiède pour ne pas dire froide. Un breuvage qui t’apparait soudainement peu buvable alors qu’un air de dégout se dessine sur ton visage aux allures encore poupin malgré ton âge. La propriétaire du magasin de fleur pour lequel tu travailles depuis un peu plus d’un an révolu, pose alors une main sur ton épaule, une moue réprobatrice et compréhensive accroché à son visage gracieux digne d’une trentenaire passionnée par la faune et la flore. Elle sait combien ce projet est important autant sur le plan de tes études que sur le plan personnel, mais elle te propose de faire une pause pour aujourd’hui. Ces paroles précieuses te font alors directement penser à ton frère ainé pour lequel tu tiens absolument le même discours. Trop encré dans sa vie professionnelle, Malo avait une tendance non limité pour l’occupation, un job qui régissait presque entièrement sa vie pour laquelle il s’effaçait surtout ces derniers temps. Accordant un sourire entendu à ta patronne, tu délaisses à contre cœur le centre de ton attention du moment. Quelques minutes plus tard, tu te retrouves en pleine rue principale sous l’influence des heures de pointes de la fin d’après-midi. Alors que tu marches en direction du métro pour rentrer à l’appartement, la sonnerie de ton cellulaire bourdonne comme un essaim d’abeilles. Cela à néanmoins la bonne initiative de te rappeler l’existence de ton téléphone portable que tu as souvent tendance à laisser trainer au fond de ton sac. Le nom de Malo s’affiche sur l’écran et à peine l’appel décroché la rengaine de l’importance de nouvelle et de prudence reprend le dessus. Tu rigoles de bon cœur, contente d’entendre sa voix et ses remarques du parfait grand frère. Ce dernier veut néanmoins prendre de tes nouvelles et te voir pour passer un peu de temps en ta compagnie. Au passage il n’échapperait pas non plus à la bonne vieille rengaine de ‘tu travailles trop, profite un peu de ta vie, tombe amoureux tu le mérites mon vieux ! ‘. La seule réponse que tu as pu lui dire au bout du fil était : In-and-out. La vision d’un énorme burger bien gras et de frites aurait pu en dégouter certains, en ce qui te concernait cela te donnait l’eau à la bouche. Une fois le point de rendez-vous donné, tu accélères légèrement le pas en direction du fast-food et il te suffisait de regarder la grande baie vitrée du restaurant rapide pour comprendre que bizarrement tu avis été plus ponctuelle que lui aujourd’hui. Après avoir passé commande, tu t’installes à une table situé au fond où le son de la radio locale joue en demi-teinte. Le burger posait sur ton plateau n’attend plus qu’à être mangé. Après tout après l’effort, le réconfort !
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Brent Fitzburg
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MessageSujet: Re: smile be yourself no matter what they say. (r)   smile be yourself no matter what they say. (r) EmptySam 14 Déc - 10:49




ft. MOSES CZYZEWSKI.

Une sonnerie qui retentit, encore et encore et encore.. les yeux de Malo s'ouvrirent doucement mais surement. Les rideaux de sa chambre fermés, la pièce était complètement sombre et seule la lumière de son cellulaire illuminait une partie de la pièce. C'était son jour de congé aujourd'hui, il avait travaillé sur son ordinateur et sur dossiers de vingt heures hier soir jusqu'à neuf heures ce matin, un vrai marathon que Malo arrivait à courir grace aux bienfaits du café. A cause des licenciements qui ont lieu en ce moment dans sa boite, il ne pouvait se permettre de faire un seul écart de comportement. De plus, l'un de ses patrons - car ils sont plusieurs - l'avait dans sa ligne de mire et ne l'avait apprécié. On le taquinait d'ailleurs beaucoup sur ce point puisque le ressentiment du Directeur Thompson à l'égard de Malo était bien connu dans les bureaux, tout le monde savait que Malo fut un jour celui qui répondit à l'une des remarques de celui qu'on appelait le Dictateur. Car oui, le vieux Thompson n'avait pas vraiment la réputation d'avoir un coeur tendre mais plutôt celle de ne pas avoir du tout. Même si Malo ne l'aimait pas des masses non plus, il le respectait pour son sens des affaires et pour son parcours puisqu'en effet, celui-ci venait d'une famille extrêmement pauvre et était maintenant en haut de l'échelle de la réussite sociale. Son téléphone ne cessait de sonner et à bout de nerfs, il finit par le prendre en mains. Lorsqu'il vit le nom affiché sur l'écran, il se leva d'un bond. Sa mère. Jamais en plusieurs années elle n'avait daigné de prendre de ses nouvelles, jamais elle ne l'avait appelé et même si Malo prétendait toujours devant tout le monde que c'était mieux ainsi, qu'il n'attendait rien d'elle, au fond, il était réellement blessé par le fait qu'elle ne le prenait plus en considération. Mais voilà que, un beau jour de décembre, elle lui passe un coup de fil. Il hésita un moment, se racla la gorge et décida de décrocher. Au bout du fil, elle aussi était hésitante. Elle passa d'abord les simples modalités puis vint au fait.. le re-mariage de son frère cadet, l'oncle Willy de Malo et Moses. Il était un homme de la quarantaine et comme tout américain riche et imbu de sa personne, il s'était séparé de sa première femme et mère de ses deux enfants pour épouser une jeune et jolie blondinette sortie de nulle part. Malgré ses nombreux défauts, Malo avait toujours bien aimé son oncle qui était le grand comique de la famille de sa mère. Elle lui dit alors que suite à un problème avec les faire-part, il devait contacter tous les invités par téléphone ou email et l'avait chargée de donner les informations à ses enfants. Elle lui donna donc de manière froide et solennelle la date, l'adresse et lui demanda si il pouvait aussi informer Moses qu'elle avait du mal à contacter ces temps-ci. La conversation avait autant de vie qu'un mort dans sa tombe, ils se dirent au revoir sans plus. Il raccrocha, déçu. Il se prépara alors rapidement et joignit par téléphone sa soeur en lui donnant rendez-vous et en passant, il lui fit une petite morale sur son utilisation inexistante de son cellulaire. Décidément, elle était incorrigible. Une fois arrivé au lieu de rendez-vous, la première chose qu'il vit en entrant et l'image de sa soeur se goinfrer avec un énorme hamburger. Il arriva en rigolant. « Viens pas te plaindre en disant que tu te trouves grosse après » dit-il, traumatisé de ces jours où Moira se plaignait toute la journée de ses soi-disant kilos en trop.  Il s'assit et enleva sa veste. « Alors, quoi de neuf? » demanda-t-il tout simplement tandis qu'il piqua une frite sur le plateau de sa soeur. Il ajouta sur un ton blasé « Maman m'a appelé cette aprem » il observa alors le visage sceptique de Moses.
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MessageSujet: Re: smile be yourself no matter what they say. (r)   smile be yourself no matter what they say. (r) EmptyDim 15 Déc - 2:22

Il y avait des tendances fâcheuses à prêter attention à sa ligne : des soucis de santé, toujours avoir une silhouette parfaite, plaire à la gent masculine pour telle ou telle raisons (…) La liste pouvait être longue et les sujets de discussion vous faire tourner en bourrique pendant des heures. Tu avais pour habitude de toujours garder une forme, un vieux réflexe d’ancienne sportive mais pour autant la gourmandise avait toujours été présente. Tu aimais manger, satisfaire tes envies alimentaires bien loin des clichés des jeunes filles d’aujourd’hui. Une controverse palpable qui avait le don d’agacer au plus haut point ta figure maternelle et quelques fois tu t’interrogeais sur les circonstances d’une naissance où les nourrissons auraient pu être échangés. Rien qu’à cette idée quelque peu farfelue, tu agites la tête de droite à gauche avant de prendre une première bouchée de ton burger. Le gout en bouche est irréprochable, et ne vaut pas le fait de s’envoyer en l’air. Le sourire coutumier de ton frère te tire de ton tête à tête avec son repas.  « Viens pas te plaindre en disant que tu te trouves grosse après ». Te dit-il en s’installant sur le siège en face de toi, toujours aussi à l’aise dans ses baskets. Egale à lui-même, cela te faisait du bien de retrouver un semblant de normalité dans ta vie. « Je ne me suis jamais plein d’être grosse, les rondeurs c’est de mode aujourd’hui. Je crois plutôt que les maux de Moira ont eu raison de toi, voilà ce que c’est de vivre avec une fille. ». Tu vivais également en colocation depuis mais les choses avait toujours été de soi. Lorsque Dimitri venait squatter ton appartement pour la soirée ou la journée, il prenait ses aises c’était le cas de le dire. Il en allait d’ailleurs de même pour ton frère. « Après tout il faut que je m’habitue, je deviendrai peut être aigri et affamée comme un chameau asséché en plein désert … ». Continues-tu en fronçant légèrement les traits encore enfantins de ton visage. La vision d’un chameau … Oui la fatigue reprenait sans doute des droits de jour ou alors elle te fait complétement déraillé. Tu esquisses un rire amusé pour laisser le sujet filer. « Alors, quoi de neuf? ». T’interroge-t-il tout en se servant une frite sur ton plateau. Tu hausses les épaules d’une manière tout à fait nonchalante. « Comme tu le vois, je déraille, je pars en vrille … Donc on m’a chaudement recommandé une pause et … ». Tu coupas nettement ta voix lorsque ton frère poursuivis d’une teinte lassante l’appel soudain de votre mère.  « Maman m'a appelé cette aprem ». Tes traits laissent place à une expression tout à fait dubitative, alors que tu avales doucement ce que tu avais dans la bouche. Peu de temps auparavant, tu avais eu une sérieuse discussion avec ta figure maternelle. Un dialogue que tu espérais aucunement digne d’un sourd mais ta détermination et ton talent d’oratrice avait eu quelque peu raison d’elle finalement. Tu étais le lien entre Malo et le restant de la famille, seulement tu espérais sincèrement que ta mère avait fait les choses correctement cette fois ci. Et non juste pour lui demander un service comme elle savait si bien le faire. « Et alors ? Au vu du son de ta voix je dirai que les choses ne se sont pas si bien passé que cela ? ».
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MessageSujet: Re: smile be yourself no matter what they say. (r)   smile be yourself no matter what they say. (r) EmptyDim 15 Déc - 4:19


Les enfants Czyzewski avaient toujours tous les deux porté un certain intérêt pour le sport mais c'était bien Moses qui battait son frère sur ce terrain la. Grande sportive depuis toujours, au lycée elle faisait partie d'un bon nombre de clubs sportifs tandis que Malo ne se contentait de jouer que de temps en temps au baseball avec ses amis. Bien que très actifs tous les deux, le grand point faible des Czyzewski est surement leurs systèmes immunitaires qui ne sont pas toujours très dignes de confiance. Par exemple, celui de Malo agit tel un yo-yo. « Je ne me suis jamais plein d’être grosse, les rondeurs c’est de mode aujourd’hui. Je crois plutôt que les maux de Moira ont eu raison de toi, voilà ce que c’est de vivre avec une fille. » après ces mots de sagesse, il soupira longuement en pensant qu'elle avait entièrement raison. Il avait eu de la chance avec sa petite soeur, elle n'avait pas fait partie et ne faisait toujours pas partie de cette catégorie de filles qui se plaignent toutes la journée. Elle n'était pas négligée mais restait toujours dans une très grande simplicité. En reparlant soudainement de sa colocataire, il esquissa un sourire en pensant que c'était à cette heure-ci qui passait l'émission que présentait Moira. Il se souvenait encore des premiers jours où elle le forçait à enregistrer chacune de ses passages à la télévision. D'ailleurs, le souvenir de Moses vivant avec son colocataire le fit faire une petite moue. Pas qu'il n'aimait pas Dimitri mais il savait qu'il avait un fond manipulateur et puis, rien que le fait de savoir qu'elle vivait aux côtés d'un homme ne le rassurait pas des masses. Il est vrai que Malo a tendance à oublier que Moses n'a plus treize petites années... « Ne m'en parle pas » dit-il sur un ton faussement sidéré. Il se rendit tout à coup compte que cela faisait vraiment longtemps qu'ils ne s'étaient pas adressés plus de deux mots en face à face. Ils s'envoyaient de temps en temps des sms ou s'appelaient mais c'était toujours très brefs et il avait l'impression de perdre de plus en plus sa soeur de vue. De plus, tous les deux croulaient sous le travail et ni Moses ni Malo n'avait plus le temps pour l'autre. « Après tout il faut que je m’habitue, je deviendrai peut être aigri et affamée comme un chameau asséché en plein désert … » Il leva légèrement les sourcils, un air questionneur mais se mit alors à rire en voyant sa soeur perdre un peu à peu le fil de ses pensées. Il lui arrivait d'être tête en l'air comme ça, de partir avec une idée et de terminer avec une autre ou bien de commencer une idée mais de ne jamais la finir... Elle-même alors se rendit compte qu'elle commençait à divaguer et arqua un sourire. Après lui avoir dit pour l'appel surprise de leur mère, il remarqua que Moses devint tout aussi sceptique que lui lorsqu'il avait vu le nom de sa mère sur l'écran de son téléphone. D'une certaine manière, il était rassuré et soulagé qu'au moins un des deux arrivait à établir une conversation normale avec leurs parents car lorsqu'il y a une tentative de la part de Malo, ça tourne toujours tristement au vinaigre. « Et alors ? Au vu du son de ta voix je dirai que les choses ne se sont pas si bien passé que cela ? » ses lèvres dessinèrent léger sourire. Ca ne l'étonnait pas vraiment que Moses pense que le choses ne s'étaient pas bien passées. Après tout, c'était souvent le cas. « Figure toi que cette fois-ci non il marqua une légère pause et prit un air pensif. Il reprit ensuite... C'est le mariage d'oncle Willy samedi et il voudrait tous nous y voir. A part ça, elle ne m'a rien dit d'autre.  » il en était presque déçu. Il continua néanmoins d'un air moitié choqué, « Tu imagines que sa nouvelle femme est plus jeune que moi.. Mais bon bref! si tu veux venir, tu peux amener un "cavalier"... » il laissa volontairement trois points de suspension, espérant en quelque sorte qu'elle lui révèle les nouveautés dans sa vie amoureuse.
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